Joffre et l’Allemande

Deuxième et dernier volet de la grande saga « Aristide Briand au commande de la France », « Joffre et l'Allemande » est une douce romance aux senteur des îles qui nous entraîne loin du front et de ses turpitudes. La grandeur et la décadence d'une époque en quelque sorte.

Résumé :

Le maréchal Joffre est un garçon bien sympathique. Entraîné malgré lui dans une guerre interminable, il s'ennuie dans les tranchées. À Paris, le gouvernement est étranglé dans les serres d'Aristide Bruant (voir, pour mieux comprendre l'histoire, le sublime « Un catafalque pour Nini peau d'chien »), imposteur et mauvais chanteur. Une nuit, pourtant, alors que ses petits camarades s'amusent à s'entretuer, il décide de battre la campagne et d'aller y cuellir des fleurs. Il se perd finalement dans la forêt, et se retrouve, après une longue errance, sur une station balnéaire de la mer baltique. Il y rencontre Ute Faboulous, grande sorcière qui décide de l'enfermer dans une colonne de lumière Tupperware®, quelque part près de l'île d'Avalon, pour le conserver quelques siècles. Au final, ça lui plaît pas mal.

Article associé : Un catafalque pour Nini peau d’chien