Le péplum au service du divin, il y a de quoi avoir le vertige. Un homme, un seul s'est senti capable de mettre tout ça en image : Louis de Bavière. Non, en fait je dois me tromper de gars… Enfin bref, un film existe pour nous prouver le sublime du carton-pâte et jupette, et ce film c'est « Sénèque contre les hommes-lézards ».

Résumé :

Stoïque, la cigarette aux lèvres, Sénèque décide de fuir la déliquescence de Rome. Pour cela, il invente une histoire de complot et une fausse mort, ce qui lui laisse le temps d'enquêter sur ce qui s'est vraiment passé lors du grand incendie de la capitale de l'Empire. C'est ainsi qu'il découvre que l'alliance des hommes-lézards, composée uniquement de critiques musicaux frustrés et dirigée par Agrippine, est la véritable et seule responsable. Néron organise, à sa demande, un grand radio crochet pour découvrir les vrais coupables et, par la même occasion, succombe aux charmes de son précepteur.